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Brigands
Atys
« Christophe Grapperon, Matthieu Heim, Jacques Gomez sont des basses qui font palpiter les sens. »
À propos des Brigands d’Offenbach
Athénée-Théâtre Louis Jouvet / Février-mars 2007
D. Dumas, théâtres, Coups de cœur et commentaires / 22.02.2007
« Matthieu Heim fut Idas, le Temps, Phobétor et Sangar avec une égale maîtrise de la musique et du vers. Le souffle long sur lequel la voix vient se poser rend son phrasé clair, et dès les premières phrases du Temps, on est étonné et ravi d’entendre chaque vers comme une entité cohérente. De l’Idas discret mais présent au Sangar joyeux, chaque intervention est un enchantement, dont la variété ne laisse pas supposer les autres personnages tenus par le même chanteur. La voix est belle - une de ces belles voix de basse comme on en entend rarement - pleine et profonde tout en étant soutenue. Matthieu Heim a su interpréter chaque moment comme une capsule de poésie, qu’elle soit galante ("Amants qui vous plaignez", acte I scène 2) ou bacchique ("Que l’on chante, que l’on danse", acte IV,scène 4). »
Loïc Chahine & Pedro Octavio Diaz, Muse Baroque / août 2009
« Unter den fünf Künstlern, die sich den ingesamt zwölf Nebenrollen widmieten, sei stellvertrend der bezaubernd klare Bass von Matthieu Heim vor allem als Allegorie der Zeit im Prolog genannt. »
Bernhard Drobig, Online Musik Magazin / 12.08.2009
« Matthieu Heim fut un Temps implacable, avant d'incarner un Sangar à la gaîté grinçante et dont le débordement tonitruant trouvait un écho réceptif ; son Idas insinueux, trop parfait courtisan, confident indiscret et accoucheur forcé de secrets cachait des zones d'ombres inhabituelles dans ce registre. »
Emmanuelle Pesqué, ODB Opéra / 23.08.2009
« Les chanteurs convoqués par Hugo Reyne sont tous excellents… notons notamment la belle et grave ligne de l’Idas de Matthieu Heim »
Maximilien Hondermarck, Forumopera.com / 21.10.2010
« Le quatuor d’hommes composé alors de Romain Champion, Vincent Lièvre-Picard, Aimery Lefèvre et de la basse (impeccable) Matthieu Heim (qui incarne avec un bel aplomb aussi le Temps du Prologue et le dieu fleuve Sangar) saisit par la cohérence de sa couleur, là encore la précision naturelle de l’articulation, son engagement collectif. »
Alexandre Pham, Classiquenews.com / 13.08.2009
« This spellbinding performance (also features Vincent Lièvre-Picard’s sweet high tenor Morphée) and the consoling bass voices of Matthieu Heim’s Phobétor and Aimery Lefèvre’s Phantase. »
David Vickers, Gramophone.co.uk / 03.12.2014
« …solistes de très haut niveau, tant du côté des seconds plans que des premiers. »
Jean Gallois, Opéra Magazine, n°55 / octobre 2010