All Die Schöpfung La servante maitresse Rigoletto La cambiale Falstaff Don Giovanni Naïs Atys
« Trio de solistes (la soprano Manon Bautian, le ténor Patrick Garayt et le baryton Matthieu Heim) très homogènes et généreux dans le lyrisme. »
Pierre-Olivier Febvret, La Montagne / 12.12.2016
« Autre composition admirable, le baryton Matthieu Heim (Pandolphe) s'impose plutôt sur la fin, dans son dernier air Que sera donc enfin cet homme qui, justement, en toute clarté lyrique, affirme enfin dans les tourments de l'amour la fougue d'un personnage jusque-là un peu flou. Ensuite, plus intéressant encore, sa peur exprimée de manière comique mais non moins convaincante n'est pas évacuée dans le joyeux duo final, chorégraphié avec sa nouvelle promise Zerbine, dont il joue la marionnette. »
François Cavaillès, Anaclase / 23.02.2016
« Au total une distribution homogène qui défend l’œuvre avec engagement, et des petits rôles tenus très honorablement. »
wanderer.blog.lemonde.fr / 06.06.2013
« Matthieu Heim et Alexandra Schoeny sont des comprimarii efficaces, le premier campant un Norton fort drôle, la deuxième n'étant pas en reste en interprétant une pétulante Clarina. »
ODB Opéra / 29.11.2012
« Matthieu Heim schliesslich füllt die etwas weniger dankbare rolle des Mr. Slender glaubhaft. »
Daniel Andres, Bieler Tagblatt / 18.06.2012
"Matthieu Heim in der Haut des Masetto wirkt in anrührender Tölpelhaftigkeit und Trotz ebenfalls glaubwürdig."
Daniel Andres, Bieler Tagblatt / 31.10.2011
« Le frère du roi des dieux est confié à la basse sombre de Matthieu Heim qui s’en acquitte également avec les honneurs – quelle présence, pour un si petit rôle ! »
Loïc Chahine, Muse Baroque / 06.04.2011
« Après un Temps irréprochable, la basse Matthieu Heim campe un Idas attachant, assumant sans emphase la préciosité de l’écriture vocale, préciosité qu’il rend naturelle par la paradoxale simplicité de sa déclamation dont le souffle très long est l’allié dévoué ; on le retrouve plus tard en Dieu du fleuve Sangar et, surtout, en Phobétor – nous en reparlerons. » À propos d’Atys de Lully Musiques à la Chabotterie / Août 2009
Bertrand Bolognesi, Anaclase / 11.08.2009